Les attentats de Copenhague, succédant à ceux de Toulouse, Montauban, Bruxelle, Paris et Montrouge, montrent que rien n'est terminé. Ceci m'inspire trois réflexions.
D'abord l'expression d'une solidarité avec le peuple danois, frappé de plein fouet dans sa démocratie et ses valeurs.