Par mon syndicat professionnel, le SNARF, j'ai l'occasion de pouvoir discuter avec les collègues des différentes régions françaises. Ils m'ont rapporté comment l'ostracisme de certains directeurs d'Agence Régionales de Santé avait empêché d'utiliser les lits de réanimations mis à disposition par les cliniques. A l'inverse, comme en Ile de France ou en Normandie, ils expliquent comment la coopération public - privé avait joué à fond en faveur des malades. Ils attendent toujours plus de moyens de protection, utilisent tout le matériel disponible, parfois même issus de cliniques vétérinaires, pour ouvrir encore plus de places de réanimation.
De toute la France
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