Au moment où les réserves de masques commencent à remonter grâce à la mobilisation de tous, c'est maintenant les blouses qui manquent. J'ai eu des échos de collègues obligés de s'habiller de sacs poubelles ou d'autres avec des protections tellement fines que leur étanchéité est illusoire.
A Saint-Hilaire l'accueil de quelques patients atteints de covidose et d'autres suspects de l'être, oblige les soignants à se protéger. Notre petite réserve de blouses a ainsi fondu en quelques jours.